lundi, août 13, 2007

La décroissance

Quand on se met en colère face aux imbéciles heureux de la politique économique démocratique, il faut avoir des chiffres.... Parce qu'ils ne comprennent que ça ! Le reste "le bonheur" et toutes ces notions non chiffrées... prrrrrrr. Ils ne comprennent pas.

Ecoutons un extrait d'imbécile :
"Le bonheur ? c'est l'argent non ? Plein plein d'argent... pour m'acheter d'la drogue dont j'ai besoin... Pi après j'irai à Paris avec tout plein de dégénérés qui comprennent plus rien. Mais quiz ont beaucoup d'ambition et qui sont prèt à faire tout pleins de saloperies exprès pour ça. Oh non je prèfère sortir avec Paul, parce que lui eh ben il a des relations !"

Des contacts ! des relations ! Voilà ce qu'ont les parisiens. Des amis voilà ce qu'on les "culs terreux" comme moi.

Le bonheur ne se chiffre pas. Le connard ne se raisonne pas. Alors que faire ?

Les obliger à lire ça :

"La Décroissance pour tous"
Par Nicola Ridoux
chez Parangon/vs

Contrairement à moi... cet auteur sait raison garder. Il expliquera clairement à votre entourage qu'il est temps de changer de système économique et donc de politique environnementale, sociale, etc...

2 commentaires:

Sens (Romaric Briand) a dit…

Il faut savoir que Romaric s'est fait récemment plaquer par sa petite amie, Morgane, et qu'il est donc très en colère. Elle est en effet devenue parisienne.
L'ambition que Romaric n'a jamais eu, elle l'a ! Sa jalousie sans borne, le pousse à critiquer bassement ceux qui le dépassent.
Il crache sur les parisien pour mieux justifier ses faiblesses ! Hahaha, les humains sont stupides. Ils s'attachent aux autres humains puis réalisent qu'ils n'étaient pas si attachant que cela...
Je préfère ne m'attacher à aucun humain, cela m'évite d'être déçu. Les humains sont toujours decevants.

Anonyme a dit…

Alors Toi ! Sens là ! T'es vraiment un gros connard !
Le mégalomane dégénéré du XXI ème siècle. Fruit de l'individualisme démesuré !
Je te conseille de lire la "décroissance pour tous". Ca te fera beaucoup de bien.
Quant à moi... eh ben je vais pousser des patates !